Christine Tasin l’islamophobe de Riposte Laïque récupère le meurtre de l’enseignante d’Albi

Islamophobie : Christine Tasin l’islamophobe de Riposte Laïque récupère le meurtre de l’enseignante d’Albi

Une  » lettre de soutien  » à l’institutrice d’Albi assassinée vendredi par une parent d’élève ( une déséquilibré selon les médecins) qui circule sur le net provient de la militante islamophobe Christine Tasin du groupuscule laïcard Riposte Laïque.

Dans cette lettre, elle accuse du meurtre de cette enseignante, les « islamo-collabos ».

« On ne sait pas encore si la mère d’élève, connue des services de police, habitant le quartier islamisé où se trouve l’école, est musulmane, mais même si elle ne l’était pas, il est clair que la violence liée à toutes les manifestations islamiques (ou liées à des pays musulmans) sur la voie publique ne peut que développer un réflexe barbare et l’usage du couteau pour régler ses comptes soi-même. « 

La laïcarde assimile encore une fois tous les musulmans à la violence dans un appel à la haine qui caractérise désormais toutes ses actions. L’affaire est à prendre au sérieux car le groupuscule de Christine Tasin est très influent au sein du milieu de l’Éducation Nationale dans lequel elle bénéficie de très nombreux soutiens. 

Il faut souligner que Christine Tasin n’en est pas à sa première provocation anti-musulmane. La Justice a requis dernièrement dernièrement 3 mois de prison et 30.000 d’amendes pour des insultes proférées contre l’Islam et de facto contre les musulmans.

Elle a par ailleurs écrit un texte publié sur Boulevard Voltaire intitulé  » Que faire des musulmans une fois le Coran interdit ? «  dans lequel elle réclamait que les musulmans deviennent invisible dans l’espace français. Elle préconisait ainsi de réquisitionner  » l’armée et tirer dans le tas «  si ces musulmans n’acceptaient pas cette idée et s’ils manifestaient.

Évidemment les médias si prompts à créer des  » affaires  » concernant les musulmans n’ont pas jugé nécessaire de dénoncer ces extrémistes laïcards fanatiques. Les politiques eux brillent par leur silence qui vaut aujourd’hui en ces temps délétères comme complicité.

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