Un militant pro-palestinien en garde à vue pour des affiches contre Israël

Boualem Snaoui, militant de gauche et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

En effet, Mardi 25 février, en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer  » sans lui dire les raisons de son interpellation ».

Après avoir été menotté et embarqué au commissariat il ne comprend toujours pas pourquoi il est là.

Mais après une petite heure dans les locaux de la Police, les fonctionnaires de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule « .

A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’État israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures.

Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF  du département, a déposé plainte pour  » dégradation de ses affiches » sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et « incitation à la haine raciale « .

Boualem Snaoui tombe des nues, d’autant plus que les panneaux sont dédiés à la libre expression publique. « Tout le monde fait cela. « Souvent, les personnes collent sur les affiches des autres ».

Mais quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », l’autre partie du motif de la plainte René Taieb choisit d’éluder la question. Il préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

René Taieb assimile sans doute « la haine raciale » aux slogans écrits sur les affiches. C’est ainsi qu’on peut y lire : « En 4 ans, l’armée israélienne a détruit 12000 maisons palestiniennes (selon une ONG israélienne) ». « Des centaines de jeunes israéliens sont emprisonnés parce qu’ils refusent de servir leur armée d’occupation. « Exigeons leur libération. »

Le parti de Boualem Snaoui s’insurge contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ».

« La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique » assènent-il.

Mais apparemment cette liberté fondamentale n’est pas pour tout le monde.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.
Mardi dernier (25 février), en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer « sans lui dire les raisons de son interpellation ». « Ils se sont servis des caméras de surveillance de la ville de Montmagny et m’ont suivi jusqu’à chez moi », explique Boualem qui ne décolère toujours pas. « Même une fois au commissariat, je n’avais toujours rien compris ».

Après une petite heure au commissariat, les policiers de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule ». « Ils m’ont menotté, avant de me ramener devant chez moi ». A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’Etat israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures. Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, Maître D. Cochain, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF (l’institution juive) du département, a déposé plainte pour « dégradation de ses affiches, sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et incitation à la haine raciale ».

« Cela fait des années que je colle des affiches avec mes camarades, partout en Ile-de-France. Et souvent, nous collons sur les affiches des autres. Et tout le monde fait pareil, M. Taieb, y compris » se défend Boualem Snaoui, qui ne comprend toujours pas qu’on puisse porter plainte pour « des affiches ». « Ce n’est pas un délit. J’appelle plutôt ça un grief infondé », ajoute-il.

« A chaque fois que je verrai mes affiches dégradées, je porterai plainte », menace René Taieb. « Je suis élu depuis 20 ans à Montmagny et je n’ai jamais vu ça ! » s’indigne t-il. Mais René Taieb choisit d’éluder l’autre partie du motif de la plainte. Quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », ce dernier préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

De son côté, Ensemble, le parti de Boualem Snaoui, s’est fendu d’un communiqué où les responsables s’insurgent contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ». « La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique », concluent-ils.

Boualem Snaoui attend toujours de savoir s’il sera poursuivi.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Mardi dernier (25 février), en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer « sans lui dire les raisons de son interpellation ». « Ils se sont servis des caméras de surveillance de la ville de Montmagny et m’ont suivi jusqu’à chez moi », explique Boualem qui ne décolère toujours pas. « Même une fois au commissariat, je n’avais toujours rien compris ».

Après une petite heure au commissariat, les policiers de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule ». « Ils m’ont menotté, avant de me ramener devant chez moi ». A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’Etat israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures. Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, Maître D. Cochain, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF (l’institution juive) du département, a déposé plainte pour « dégradation de ses affiches, sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et incitation à la haine raciale ».

« Cela fait des années que je colle des affiches avec mes camarades, partout en Ile-de-France. Et souvent, nous collons sur les affiches des autres. Et tout le monde fait pareil, M. Taieb, y compris » se défend Boualem Snaoui, qui ne comprend toujours pas qu’on puisse porter plainte pour « des affiches ». « Ce n’est pas un délit. J’appelle plutôt ça un grief infondé », ajoute-il.

« A chaque fois que je verrai mes affiches dégradées, je porterai plainte », menace René Taieb. « Je suis élu depuis 20 ans à Montmagny et je n’ai jamais vu ça ! » s’indigne t-il. Mais René Taieb choisit d’éluder l’autre partie du motif de la plainte. Quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », ce dernier préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

De son côté, Ensemble, le parti de Boualem Snaoui, s’est fendu d’un communiqué où les responsables s’insurgent contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ». « La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique », concluent-ils.

Boualem Snaoui attend toujours de savoir s’il sera poursuivi.

– See more at: http://www.lecourrierdelatlas.com/668327022014Huit-heures-de-garde-a-vue-pour-des-affiches-denoncant-la-politique-d-Israel.html#sthash.IeaPtwAG.dpuf

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Mardi dernier (25 février), en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer « sans lui dire les raisons de son interpellation ». « Ils se sont servis des caméras de surveillance de la ville de Montmagny et m’ont suivi jusqu’à chez moi », explique Boualem qui ne décolère toujours pas. « Même une fois au commissariat, je n’avais toujours rien compris ».

Après une petite heure au commissariat, les policiers de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule ». « Ils m’ont menotté, avant de me ramener devant chez moi ». A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’Etat israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures. Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, Maître D. Cochain, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF (l’institution juive) du département, a déposé plainte pour « dégradation de ses affiches, sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et incitation à la haine raciale ».

« Cela fait des années que je colle des affiches avec mes camarades, partout en Ile-de-France. Et souvent, nous collons sur les affiches des autres. Et tout le monde fait pareil, M. Taieb, y compris » se défend Boualem Snaoui, qui ne comprend toujours pas qu’on puisse porter plainte pour « des affiches ». « Ce n’est pas un délit. J’appelle plutôt ça un grief infondé », ajoute-il.

« A chaque fois que je verrai mes affiches dégradées, je porterai plainte », menace René Taieb. « Je suis élu depuis 20 ans à Montmagny et je n’ai jamais vu ça ! » s’indigne t-il. Mais René Taieb choisit d’éluder l’autre partie du motif de la plainte. Quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », ce dernier préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

De son côté, Ensemble, le parti de Boualem Snaoui, s’est fendu d’un communiqué où les responsables s’insurgent contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ». « La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique », concluent-ils.

Boualem Snaoui attend toujours de savoir s’il sera poursuivi.

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Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Mardi dernier (25 février), en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer « sans lui dire les raisons de son interpellation ». « Ils se sont servis des caméras de surveillance de la ville de Montmagny et m’ont suivi jusqu’à chez moi », explique Boualem qui ne décolère toujours pas. « Même une fois au commissariat, je n’avais toujours rien compris ».

Après une petite heure au commissariat, les policiers de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule ». « Ils m’ont menotté, avant de me ramener devant chez moi ». A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’Etat israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures. Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, Maître D. Cochain, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF (l’institution juive) du département, a déposé plainte pour « dégradation de ses affiches, sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et incitation à la haine raciale ».

« Cela fait des années que je colle des affiches avec mes camarades, partout en Ile-de-France. Et souvent, nous collons sur les affiches des autres. Et tout le monde fait pareil, M. Taieb, y compris » se défend Boualem Snaoui, qui ne comprend toujours pas qu’on puisse porter plainte pour « des affiches ». « Ce n’est pas un délit. J’appelle plutôt ça un grief infondé », ajoute-il.

« A chaque fois que je verrai mes affiches dégradées, je porterai plainte », menace René Taieb. « Je suis élu depuis 20 ans à Montmagny et je n’ai jamais vu ça ! » s’indigne t-il. Mais René Taieb choisit d’éluder l’autre partie du motif de la plainte. Quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », ce dernier préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

De son côté, Ensemble, le parti de Boualem Snaoui, s’est fendu d’un communiqué où les responsables s’insurgent contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ». « La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique », concluent-ils.

Boualem Snaoui attend toujours de savoir s’il sera poursuivi.

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Boualem Snaoui, l’un des responsables départementaux du Val d’Oise d’Ensemble (une des composantes du Front de gauche) et militant de longue date pour la cause palestinienne, a encore du mal à croire ce qui lui est arrivé.

Mardi dernier (25 février), en fin de matinée, deux policiers sont venus l’arrêter devant son domicile, alors qu’il venait de se garer « sans lui dire les raisons de son interpellation ». « Ils se sont servis des caméras de surveillance de la ville de Montmagny et m’ont suivi jusqu’à chez moi », explique Boualem qui ne décolère toujours pas. « Même une fois au commissariat, je n’avais toujours rien compris ».

Après une petite heure au commissariat, les policiers de Deuil-La-Barre (95) lui signifient  que « le procureur de la République a ordonné une perquisition de son véhicule ». « Ils m’ont menotté, avant de me ramener devant chez moi ». A l’intérieur de la voiture, les policiers découvrent de nombreuses affiches et tracts qui l’identifient parfaitement comme étant syndicaliste et investi politiquement, ainsi que des affichettes dénonçant la politique de l’Etat israélien à l’égard du peuple palestinien.

Les mains toujours menottées, Boualem Snaoui est contrait de retourner au commissariat où il sera placé en garde à vue pendant huit heures. Ce n’est qu’après l’arrivée de son avocate, Maître D. Cochain, qu’il apprend alors que René Taieb, candidat municipal PS à Montmagny (95) et accessoirement, responsable du CRIF (l’institution juive) du département, a déposé plainte pour « dégradation de ses affiches, sur les panneaux dédiés à la libre expression publique dans la commune de Montmagny et incitation à la haine raciale ».

« Cela fait des années que je colle des affiches avec mes camarades, partout en Ile-de-France. Et souvent, nous collons sur les affiches des autres. Et tout le monde fait pareil, M. Taieb, y compris » se défend Boualem Snaoui, qui ne comprend toujours pas qu’on puisse porter plainte pour « des affiches ». « Ce n’est pas un délit. J’appelle plutôt ça un grief infondé », ajoute-il.

« A chaque fois que je verrai mes affiches dégradées, je porterai plainte », menace René Taieb. « Je suis élu depuis 20 ans à Montmagny et je n’ai jamais vu ça ! » s’indigne t-il. Mais René Taieb choisit d’éluder l’autre partie du motif de la plainte. Quand on évoque « l’incitation à la haine raciale », ce dernier préfère rappeler plusieurs fois qu’il faut « laisser la justice faire son travail ».

De son côté, Ensemble, le parti de Boualem Snaoui, s’est fendu d’un communiqué où les responsables s’insurgent contre « le détournement des missions de la police nationale à des fins politiques » et  condamnent « les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humanistes ». « La liberté d’affichage est constitutive d’une liberté fondamentale. C’est une pratique enracinée dans la tradition démocratique », concluent-ils.

Boualem Snaoui attend toujours de savoir s’il sera poursuivi.

– See more at: http://www.lecourrierdelatlas.com/668327022014Huit-heures-de-garde-a-vue-pour-des-affiches-denoncant-la-politique-d-Israel.html#sthash.IeaPtwAG.dpuf

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