L’islamophobie n’est pas une opinion, c’est un délit. La loi punit ces faits.

Et pourtant, la chose existe encore et toujours, des personnalités publiques en font même état à des grandes heures d’écoute, dans les médias français.

Actuellement en promotion pour son livre, la « super flic de France » Julie Lescaut alias Véronique Genest en a encore rajouté une couche sur l’Islam.
En effet, lorsque une chroniqueuse lui demande si elle regrette ses prises de position sur l’Islam et ses déclarations islamophobes, celle-ci rétorque qu’elle ne regrette rien.

« Je ne regrette jamais rien. Si les gens sont choqués, c’est peut-être qu’ils n’écoutent pas bien ce qu’on dit. Et puis je crois qu’il n’y a pas de délit d’opinion. C’est mon opinion et je l’assume ».

Quand la journaliste lui demande de s’expliquer sur ces allégations concernant la dangerosité de l’Islam pour la démocratie, Véronique Genest s’emporte :

« Regardez autour de vous pour l’instant et laissez les gens se faire leurs opinions. Voilà. Regardez ce qu’il se passe dans le monde et vous verrez (…) C’est une opinion, c’est la mienne ».

Interrogée dans une autre émission elle se présente comme « islamo-critique » et non pas « islamophobe ». D’ailleurs, quand l’animateur tente de comprendre les raisons d’un tel acharnement sur l’Islam, la première flic de France perd patience :

« Ecoute, je m’en f***, tu vois, honnêtement. Cette conversation me gonfle. Moi, franchement, la religion me fait ch***. »

Elle conclue même sur un ton agacé : 

« Je n’ai pas envie d’être dans la position de l’accusée. Je n’ai rien fait de mal ».

Derrière une critique de l’Islam, c’est évidemment les musulmans Français dans leur ensemble qu’elle vise. Ne pas apprécier l’Islam est un “droit” mais s’en prendre à la liberté de culte de chacun en est un autre.

Encore un « dérapage mal contrôlé », de fin de carrière…