On se souvient du frère Isssa, qui avait témoigné par vidéo afin d’alerter la communauté musulmane française sur la situation critique de sa famille. Sa femme, Jennifer, ainsi que son nourrisson âgé de 8 mois sont en prison en Tunisie, suspectés de terrorisme !
Vidéo : Issa, reconverti, interpelle la Oumma sur l’emprisonnement de sa femme et son nourrisson en Tunisie
La maman de Jennifer s’implique dans le combat judiciaire qui l’oppose aux autorités tunisiennes. Accompagnée de son avocate, elle a réagi devant la presse afin d’alerter l’opinion publique sur la situation de sa fille et de son petit fils.
Les autorités françaises ne semblent pas préoccupées par la situation des français musulmans à l’étranger comme si ces derniers étaient des sous-citoyens. La France a tout fait pour libérer Gilad Shalit, soldat franco-israélien ou encore Florence Cassez emprisonnée à perpétuité car reconnue coupable de grand banditisme au Mexique.
Que fait-elle pour la femme de Issa ou encore pour les étudiants français aux Yémen qui vivent sous les obus chiites ? Existe-t-il un deux poids deux mesures ? Est-il normal qu’une femme et son enfant se retrouvent en prison pour une ceinture de policier dans leurs bagages ?
Beaucoup espéraient un changement en Tunisie, mais depuis quelques temps la révolution a été confisquée aux tunisiens. La justice a laissé place à l’oppression contre tout musulman pratiquant. Des faits très graves nous ont été rapportés par des connaissances proches qui se sont fait expulser pour pratique trop importante de la religion ! Dans un pays musulman, peut-on accuser un homme de radicalisme car il prie 5 fois par jour à la mosquée ? Même en France, il n’existe pas de telle mesure !
Soignons solidaires car cela peut toucher n’importe qui parmi nous. Lorsqu’un musulman souffre, la Oumma doit compatir avec lui et l’aider ! Faites connaitre cette vidéo autour de vous ainsi que celle de Issa que nous remettons en lien ici.
Si un lecteur peut traduire la vidéo pour que les non-arabophones puissent comprendre le récit de l'avocate, n'hésitez pas à le faire.
