L’écrivaillon Boualem Sansal a reçu ce mercredi 4 décembre le prix  Jean Zay au Sénat à Paris pour son livre « Gouverner au nom d’Allah: Islamisation et soif de pouvoir dans le monde arabe ». Il lui a été remis par Jean-Michel Baylet, président du Parti Radical de Gauche. Le Prix Jean Zay a été créé en 2005 à l’occasion des célébrations du centenaire de la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat, il est décerné chaque année pour commémorer la date du vote de cette loi.

Boualem Sansal est un écrivain banni en Algérie pour sa collaboration avec Israël et ses propos islamophobes cachés derrière un pseudo-combat contre l’islamisme.

Récemment, l’ami d’Israël avait déclaré : 

« C’est ce qui explique la toile d’araignée que constitue l’ouverture d’innombrables mosquées, de cours d’arabe ou de L’Amicale des Algériens en Europe. Les communautés immigrées sont instrumentalisées, or les gouvernements participent à ce double jeu, qui consiste à recruter des imams alors que ces pays se disent laïques. Résultat ? Les jeunes ne se sentent plus Belges, Français ou Allemands, bien que cette troisième génération soit née en Europe. Quel échec ! »

En décernant le prix Jean Zay à une tel individu, l’extrême gauche démontre à nouveau son islamophobie viscérale inhérente à son athéisme radical. Les musulmans ont trop longtemps voté pour cette gauche traître. La donne doit changer. La communauté musulmane ne marche plus aux combines politiciennes gauche / droite.